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littérature jeunesse - Page 5

  • The Hen Who Dreamed she Could Fly de Sun-Mi Hwang

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    • the hen who dreamed she could fly, littérature coréenne, littérature jeunesse, Sun-mi Hwang, conte, corée du sudMlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec The Hen Who Dreamed she Could Fly ?

       "Dès que l'auteur est coréen, je suis irrémédiablement attirée par un livre et même si celui-ci n'évoque absolument pas le pays, l'histoire de cette petite poule m'intriguait."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Sprout est une poule pondeuse mais elle ne supporte plus d'être enfermée, ne supporte plus qu'on lui prenne chaque jour ses oeufs. Tout ce qu'elle veut c'est vivre libre dans la cour de la ferme et pouvoir couver paisiblement..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "C'est un très joli conte pour enfants. C'est tendre, parfois triste. Ça parle de liberté, de courage et de différences. D'amour maternel aussi. C'est poétique et émouvant et j'ai beaucoup aimé faire la rencontre de cette petite poule. Je comprends pourquoi le livre a été traduit dans de nombreux pays et adapté à plusieurs reprises mais ça reste un conte pour enfants. S'il n'était pas épuisé en français, je l'offrirais sans aucun doute à tous ceux de mon entourage mais en tant qu'adulte, je ne sais pas si au-delà de la lecture plaisante, il me restera grand chose de cette histoire mais peut-être que je me trompe. Et ça ne m'empêche pas pour autant d'avoir envie de lire les autres romans de l'autrice. Après tout, ça ne fait jamais de mal de retomber un peu en enfance."

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "Comme cela devait finir, nous étions prévenus, mais on retrouve bien ici le côté souvent doux amer de la littérature coréenne, plus réaliste que nos sempiternels "tout est bien qui finit bien."

     

        Mlle Alice, merci, et à samedi prochain...

    Retrouvez toutes mes chroniques autour de la Corée du Sud ICI

    et toutes celles sur la littérature coréenne, par LÀ

     

    Alors, vous craquez pour "The Hen who Dreamed she Could Fly" ?

  • Enola Holmes et la Marque de la Mangouste de Nancy Springer

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    • Enola Holmes, Enola Holmes et la marque de la mangouste, littérature jeunesse, littérature anglaise, Sherlock Holmes, roman policierMlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec La Marque de la Mangouste ?

       "Je lis très peu de jeunesse et pourtant j'ai une affection particulière pour cette petite Enola Holmes, piquante, indépendante et intelligente. Je remercie les éditions Nathan de m'avoir envoyé ce neuvième tome de ses aventures."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Un homme grossier refuse de confier son affaire à la jeune Enola lorsqu'il apprend que le Docteur Ragostin n'existe pas. Il n'en faudra pas plus pour érafler la fierté de notre jeune enquêtrice et la convaincre de prouver à ce malotrus à quel point il a tort en retrouvant son ami..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "L'autrice a décidé cette fois d'utiliser des personnes réels pour son enquête. Je trouve que c'est un procédé toujours un peu risqué mais l'un d'entre eux, le plus célèbre, m'a vraiment amusée (si vous voulez savoir de qui il s'agit, je vous laisse lire le résumé officiel). Cela m'a donné envie de me renseigner plus avant et j'ai appris que son beau-frère, que l'on croise ici aussi, était mort seulement deux ans après la date à laquelle est située l'intrigue, ça gâche quand même un peu le happy ending. D'ailleurs, Nancy Springer, dans sa petite note de fin, a choisi de ne pas le mentionner.

       Pour le reste, j'ai aimé retrouver Enola et Sherlock bien sûr, même si celui-ci est peut-être un petit peu trop présent, tout en étant assez peu efficace, ce qui n'est pas très vraisemblable. J'ai aimé aussi en apprendre plus sur la rage, et la façon dont Pasteur et d'autres médecins ont pu travailler pour trouver un remède à ce mal absolument terrible. Mais alors que j'avais trouvé que dans cette deuxième partie de la série, celle écrite après le premier film, on était un cran au-dessus des précédents, il m'a semblé que celui-ci manquait à nouveau d'un petit quelque chose en plus. Et est-on vraiment obligés d'avoir le détail de chacune des nombreuses tenues d'Enola ?"

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "Bon, ce n'est peut-être pas le meilleur de la série, j'en conviens, mais est-ce que cela va m'empêcher de continuer à suivre Enola et de me régaler ? Certainement pas !"

     

        Mlle Alice, merci, et à samedi prochain...

    Retrouvez toutes mes chroniques des livres de Nancy Springer ICI

     

    Alors, vous craquez pour "Enola Holmes et la Marque de la Mangouste" ?

  • Emily de New Moon de Lucy Maud Montgomery

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    • Emily de new moon, Lucy Maud Montgomery, littérature canadienne, littérature jeunesse, monsieur toussaint laventure, monsieur toussaint louvertureMlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Emily de New Moon ?

       "Depuis ma première découverte d'Anne, j'avais également envie de partir à la rencontre d'Emily et une jolie édition anglaise dort dans mes wishlists depuis des années. Mais la nouvelle traduction de Monsieur Toussaint Louverture enrobée d'un si bel écrin est une proposition qui ne peut pas se refuser."

    • Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

       "Emily vient de perdre son papa qu'elle aimait plus que tout et avec qui elle vivait seule. C'est maintenant la famille de sa mère, qu'elle ne connaît pas du tout, qui va devoir s'occuper d'elle mais lequel de ces orgueilleux Murray en aura donc la charge..."

    • Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?

       "J'ai beaucoup aimé ma lecture. Soyons honnêtes, c'est très similaire à Anne. Si vous aimez l'une, vous aimerez l'autre. On y retrouve tout ce qui fait le charme des précédents romans de Lucy Maud Montgomery : une plume magnifique qui nous entraîne dans son univers poétique, une petite fille au caractère bien trempé, un bel environnement et une palette de personnages qui évolueront au fil des pages. J'ai trouvé le début et la mise en place un petit peu longue mais la deuxième partie du roman s'accélère et se dévore. Peut-être aussi que les tracasseries de petites filles ne sont pas les sujets qui me passionnent le plus, ça reste un roman pour enfant après tout, mais je suis sûre que plus je suivrai Emily dans ses aventures, plus je l'aimerai, c'est en tous cas ce qui s'était passé avec Anne, dont le premier tome n'est pas mon préféré. "

    • Et comment cela s'est-il fini ?

       "La fin est très émouvante, j'ai peut-être même versé une petite larme. Décidément, je deviens sentimentale avec les années. J'ai déjà hâte de retrouver Emily, New Moon et tous ses habitants, et de la voir grandir et mûrir chaque jour un peu plus."

     

        Mlle Alice, merci, et à mercredi prochain...

    Retrouvez toutes mes chroniques sur l'oeuvre de Lucy Maud Montgomery ICI

     

    Alors, vous craquez pour "Emily de New Moon" ?

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